Versets Bibliques sur Anxiety

Le roi lui dit : Qu’as-tu ? Elle répondit : Oui, je suis veuve, mon mari est mort !

David aperçut que ses serviteurs parlaient tout bas entre eux, et il  comprit que l’enfant était mort. Il  dit à ses serviteurs : L’enfant est-il mort ? Et ils répondirent : Il est mort.

Il prendra la meilleure partie de vos champs, de vos vignes et de vos oliviers, et la donnera à ses serviteurs.

Élisée dit : Écoutez la parole de l’Éternel ! Ainsi parle l’Éternel : Demain, à cette heure, on aura une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d’orge pour un sicle, à la porte de Samarie.

Tu feras disparaître leur postérité de la terre, Et leur race du milieu des fils de l’homme.

Ainsi parle l’Éternel, le rédempteur, le Saint d’Israël, À celui qu’on méprise, qui est en horreur au peuple, À l’esclave des puissants : Des rois le verront, et ils se lèveront, Des princes, et ils se prosterneront, À cause de l’Éternel, qui est fidèle, Du Saint d’Israël, qui t’a choisi.

Ils partirent de la montagne de Hor par le chemin de la mer Rouge, pour contourner le pays d’Édom. Le peuple s’impatienta en route,

Israël demeurait à Sittim ; et le peuple commença à se livrer à la débauche avec les filles de Moab.

Quand ils furent arrivés aux districts du Jourdain qui appartiennent au pays de Canaan, les fils de Ruben, les fils de Gad et la demi-tribu de Manassé, y bâtirent un autel sur le Jourdain, un autel dont la grandeur frappait les regards.

Mais j’invoquai le nom de l’Éternel : Ô Éternel, sauve mon âme !

Saül, informé que David s’était enfui à Gath, cessa de le chercher.

N’ayez pas peur, et ne tremblez pas ; Ne te l’ai-je pas dès longtemps annoncé et déclaré ? Vous êtes mes témoins : Y a-t-il un autre Dieu que moi ? Il n’y a pas d’autre rocher, je n’en connais point.

Car tu n’es point un Dieu qui prenne plaisir au mal ; Le méchant n’a pas sa demeure auprès de toi.

S’il s’élève au milieu de toi un prophète ou un songeur qui t’annonce un signe ou un prodige,

Puis il regardera vers la terre, Et voici, il n’y aura que détresse, obscurité et de sombres angoisses : Il sera repoussé dans d’épaisses ténèbres.

Il lui répondit : Nous allons de Bethléhem de Juda jusqu’à l’extrémité de la montagne d’Éphraïm, d’où je suis. J’étais allé à Bethléhem de Juda, et je me rends à la maison de l’Éternel. Mais il n’y a personne qui me reçoive dans sa demeure.

Pour ouvrir les yeux des aveugles, Pour faire sortir de prison le captif, Et de leur cachot ceux qui habitent dans les ténèbres.

Mieux vaut le peu du juste Que l’abondance de beaucoup de méchants ;

Comme les jambes du boiteux sont faibles, Ainsi est une sentence dans la bouche des insensés.

Écoute ma voix selon ta bonté  ! Rends-moi la vie selon ton jugement !

Le sacrificateur examinera la plaie le septième jour. Si la teigne ne s’est pas étendue, s’il n’y a point de poil jaunâtre, et si elle ne paraît pas plus profonde que la peau,

Et voici, vous prenez la place de vos pères comme des rejetons d’hommes pécheurs, pour rendre la colère de l’Éternel encore plus ardente contre Israël.

Puis Samuel se leva, et monta de Guilgal à Guibea de Benjamin. Saül fit la revue du peuple qui se trouvait avec lui : il y avait environ six cents hommes.

Celui qui marche dans l’intégrité marche avec assurance, Mais celui qui prend des voies tortueuses sera découvert.

Ses sacrificateurs tombèrent par l’épée, Et ses veuves ne pleurèrent pas.

Moab est le bassin où je me lave ; Je jette mon soulier sur Édom ; Je pousse des cris de joie sur le pays des Philistins !

Malheur à la couronne superbe des ivrognes d’Éphraïm, À la fleur fanée, qui fait l’éclat de sa parure, Sur la cime de la fertile vallée de ceux qui s’enivrent !

Alors les gens du pays découragèrent le peuple de Juda ; ils l’intimidèrent pour l’empêcher de bâtir,

En ce temps-là, dit l’Éternel, on tirera de leurs sépulcres les os des rois de Juda, les os de ses chefs, les os des sacrificateurs, les os des prophètes, et les os des habitants de Jérusalem.

Contre qui le roi d’Israël s’est-il mis en marche ? Qui poursuis-tu ? Un chien mort, une puce !

Ils ont excité sa jalousie par des dieux étrangers, Ils l’ont irrité par des abominations ;

Celui qui dérobera un homme, et qui l’aura vendu ou retenu entre ses mains, sera puni de mort.

Oh ! si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, M’y tenir à couvert jusqu’à ce que ta colère fût passée, Et me fixer un terme auquel tu te souviendras de moi !

L’homme né de la femme ! Sa vie est courte, sans cesse agitée.

Comme quand on laboure et qu’on fend la terre, Ainsi nos os sont dispersés à l’entrée du séjour des morts.

Vous vous approchâtes tous de moi, et vous dîtes : Envoyons des hommes devant nous, pour explorer le pays, et pour nous faire un rapport sur le chemin par lequel nous y monterons et sur les villes où nous arriverons.

Sachez donc que c’est moi qui suis Dieu, Et qu’il n’y a point de dieu près de moi ; Je fais vivre et je fais mourir, Je blesse et je guéris, Et personne ne délivre de ma main.

Détourne-toi du mal, fais le bien, Et possède à jamais ta demeure.

Et moi, quand ils étaient malades, je revêtais un sac, J’humiliais mon âme par le jeûne, Je priais, la tête penchée sur mon sein.

Assieds-toi en silence, et va dans les ténèbres, Fille des Chaldéens ! On ne t’appellera plus la souveraine des royaumes.